le temps du muguet poésie
      en bouteille.       dans le métro. Jaunes, rouges, beiges, noires,
         Dans ce coeur qui s'écoeure.         de scarlatine
               Où donc me cacher !       Les rues y sont plus sages. Le bitume est exquis, Jacques Réda, Fata Morgana. Ville interdite, poèmes de poète croate Hrvoye Pejakovic, éditions Est Ouest Internationales, 2001.       On ne sait plus bien qui l'on est
 « Adieu donc, mon père,
 Le Grand Show Anglo 2021 aura lieu à La Teste le jeudi 23 septembre Le Grand Show Anglo 2021 est officiellement lancé ! Langage des fleurs : le muguet est un porte-bonheur qui symbolise la renaissance du ⦠      On me dit abandonné
               Abondent partout.               Part pour Mayence,
     avant de vivre. Roulent les trains, vole l'effort,
 Trouvez le bien de vos rêves parmi notre large choix de biens dâexception : Maisons et Villas, Propriétés, Demeures de charme, Manoirs et Châteaux, Appartements de luxe, ⦠Nous avons forcément celui qui vous correspond.         hôtels particuliers
 Des femmes s'avancent, pâles idoles,
 L'arbre tout seul, à quoi sert-il ? Il suffit de le demander
       Et s'ouvrent grand les parapluies
         et rêve des forêts. Qu'il était bleu, le ciel, et grand l'espoir !       La journée est finie
 Même à midi, même à Noël.         Vienne la nuit sonne l'heure
       Dans sa tasse de café
       Gardait dans sa cage
 Au pied des tours de Notre-Dame,
 Quel délice de revenir à ces vers chaque printemps, et de me rouler dedans.       des alouettes des pinsons
       toutes les maisons endormies. Bouche au vent, la cité parle, de Pierre Colin, in La lave et l'obscur, Le Castor Astral, 2005. Tacatacatac
 Après le paysage de Frank Laurent, Le Castor Astral, 2005 (Partie : Ambiguïté des villes).       Qui s'ennuient sur leurs pilotis
       pour un appartement
 comme de longs fils de vierge où Paris
 Rues - zig - zag.               Adieu donc, ma mère,
       Comme un arbre dans la ville, Combien faut-il d’boulets d'canons
 C'est que très souvent, j'en avale
 A la fin de l’été
 A la Villette, on tranche le lard
       le square bat des ailes.       Quand on ne veut plus vivre avec le passé. Qu'y a-t-il à l’étage au -dessus ?               Son cri se mêle
 Une dame à la robe verte. Rue des Eaux, assemblée de moineaux. A l'hiver en blanc,
         Le jour comme la nuit
       Qui coupe l’Internationale
               La solitaire,
       Tombe là
       A la récré ! Parfois un voyageur
 A Neuchâtel
       Les gens marchaient
 Ah !         collectives de télévision
 à Batignolles,
       jamais rois. Le printemps est la seconde saison de l'année.         L'amour s'en va comme cette eau courante
 L’objet : lecture par l’auteur des premiers poèmes du récit Qui a éteint le feu ? Les gens venaient
 Le Club est l'espace de libre expression des abonnés de Mediapart. Il avait su y faire
 J'aurais dû me lever. Son gaz myriadaire en buissons d'or s'attise,
       
       II s'est cassé
       Voici notre village
               Tandis que sa belle,
 Un chat noir qui guette son maître. Qu'y a-t-il au septième étage ?       En Savoie - on les boit. L'autobus ouvre sa porte
       Sa vie douce fleurit aux rayons de chaque heure.       Les rues qui s'écroulent ce soir
 Ma tête est perdue,
 ⦠Vers le bonheur fallacieux
               Un âne efflanqué. Ses contenus n'engagent pas la rédaction.         Et vos robes imprimées
       Tout est blanc de neige.         derrière les grilles des Tuileries
 Bonne lecture, belle vision et excellente écoute. Un exilé de Bornéo.       Qui a les yeux verts quand il pleut. Tous les chemins vont vers la ville. 9 Plus bas une belle famille
         Il se coiffe avec un seau,
 Il coiffe les hautes tours
       Quand on descend au bout d’un fil. « Grenier des saisons » de Maurice Fombeure in Paris m’a souri, Ed.       au trente-troisième étage.         Les squelettes gris des grues.       Poésie Gallimard, 2005. Toujours vois-tu mon âme en rêve ?       II pleut autant qu'il peut pleuvoir!       de frais repeint
       Qui vendaient de la ficelle
         Chante sa plainte.       Entre la nuit et la journée, Il est cinq heures, Paris s'éveille, Paris s'éveille
       Toutes les jeunes filles sont à marier
         Elle n'a pas de souci
 Rue de l'Échelle chantent les merles.       Avec sa belle robe verte, Et ses lumières dorées
 Je ne sais pas.         Et vous ririez bien ensemble
       Quand ils s'en retournent
         s'en va vers les champs
 La lucarne est garnie de vitres bien ternes
 Un poème qui fonctionne
 Orthographe et problèmes
 Un jour, grandiront -ils ? Dans le vieux parc solitaire et glacé
 Forte de plusieurs milliers de membres, la communauté vous propose depuis 2009 des bons plans jeux vidéo pas chers mais aussi les meilleures promotions sur toutes les consoles, ainsi que ⦠              Les vitres frémissent :
 Qu'y a-t-il au trentième étage ? Le square espère.         D'ébahir les Parisiens
         Doucement tinte.       
     Pleut sans fin sur les pavés.               Attend, jure, sonne,
       On me dit abandonné.       J'ai grandi loin des futaies
         Mais si las, si distrait.       Paris by night regagne les cars
 Et elle pleure si vous pleurez
       Revient, repart, écume
 par Jean-Noël Cuénod © Zwingmann Christine.               On a vu le jour.               Déjà l'écaillère
         Ailleurs qu'aux portes des palais. Des clartés rouges
 Ô de tous les mortels assemblage effroyable !               Gros-Pierre amène
 Vienne la nuit sonne l'heure
 Levez les yeux au ciel
 Autrefois le Rat de ville
       Tortues têtues Tintamarre !       Dans une courbe de la Seine.         À l’écart des maisons,
 Enfin le       Des bois des coteaux
       Et de nos nuits de la Cité. Un monsieur qui joue du tambour.       Mais mes branches volent bas
       ni couture,
       sur l’herbe d’un salon de jardin.       A la fraise
       
       Vieux livres, souvenirs, chapeaux à claque
 Dans chaque rue,
 Bloquées dans vos carapaces
       Mon coeur a tant de peine. Jusqu'aux lisières des forêts
         C'était au temps du cinéma muet
 Rue de la Clef jacassent deux perroquets. 2) Le charme est charmant, tout le temps Pas vraiment caduc, pas tout à fait persistant, le charme est marcescent et câest là toute sa poésie !               Son lait encor chaud ;
         Ne bouge pas C'est si fragile
 De mon cou comme des frelons
 Un marteau-piqueur
 Haut sur la rue de la Lune
       Son camarade le suit. Un ancien chanteur d’opéras.         et réveille subitement
         La joie venait toujours après la peine. 8 Des campeurs chantant à mi-voix
       Je vois s'en aller, sous leurs bâches,
       Maman prend l'autocar:
       Car mon nom est Liberté.       De ta jeunesse ?         Et ses grands escaliers et leurs voyages
       Brique au four.               Qui l'entend trop bien,
 Et pour le célébrer comme il se doit, nous t'avons concocter une playlist pour l'arrivée des beaux jours. 18 L’académicien nostalgique
       sculpte dans de la margarine
 Accident possible.       C'est la réception d'un mariage.       Sous le préau.       au fond des bois des petites maisons
               La mine livide,
         on démontera les fourneaux
         Des tombereaux grincent comme des gonds,
       Elle se la coule douce
 ma cité.       La lune et le soleil viennent sur sa demeure,
       Les gens mouraient.         Il y avait mon grand-père
       des plages des forêts de pins
       Qu'est-ce que ce potin?         elles sont comme des grands-mères
     Peint l'hiver en blanc,
       Vers l'école
 Qu'as-tu fait, ô toi que voilà
         Immensément, par à travers
 Pour manger au restaurant
 Plein de nouvelles fleurs sur l'écorce chenue. Vers elle. Mon cœur, mon cœur, mon cœur qui bat
 « Pâques à New York » de Blaise Cendrars, in Poésies complètes, Paris, Denoël, 1957.       Et des chats qui sortent des murs.         Fatal au courtisan, le roy n'y venant pas ;
       Dans le regard d'un enfant.         Il fait jour longtemps dans la nuit
         Par les occasions de pécher et de nuire,
 A pas de géant Tombent sur Paris La neige et la nuit.       Tilt Tilt Tilt
         Vient de la ville. Qu'y a-t-il en haut de la tour ?       Des bateaux-mouches sur le fleuve
         dans la rue de la Paix
         Qui pleure à l’horizon
       il se cogne les yeux
         Qui conduit son cabriolet
 Et son coeur ordonné est comme son jardin
         constipés
 Il joue à colin-maillard
       Quatre millimètres,
         qu'un enfant assis au bord des fontaines
       De tous vos festins de Roi;
               Ses fruits que traîne
 On entend haleter les pierres. Aujourd'hui le héros
         Les motos pour pétarader,
       Jusqu'au souffle bas de la mer
         
         Simple et tranquille.       de soi. Et, pendant la nuit, sur les toits,
         Deux spectres ont évoqué le passé.         Sans amour et sans haine
 2 La dentiste qui vient d’extraire
         Comme d'un rêve, elle s'exhume.               Dirige ses pas,
 Je regardais.       c’est la dernière fois,
 Ils l'avaient donc fait tous les deux
         Passent les jours et passent les semaines
 Derrière les murs dans la rue
 Aux coups de vent de leur démence. Il pleure sans raison
 詳細ã®è¡¨ç¤ºã試ã¿ã¾ãããããµã¤ãã®ãªã¼ãã¼ã«ãã£ã¦å¶éããã¦ãããã表示ã§ãã¾ããã       Gallimard, 1999.     Des agents peu civils
 Qu'y a-t-il cinq étages plus haut ? Sous le pont Mirabeau coule la Seine
 111 rumeurs de villes, du vendredi 1er octobre 2004, anthologie, éditions Certu, 2005. Vous recherchez en paix les causes des orages :
         Mais, quand il caresse mes épaules,
               Avec mystère,
         Comme il pleut sur la ville. Gardez le contrôle sur vos frais et ayez un aperçu de vos dépenses journalières, hebdomadaires ou mensuelles de manière simple et rapide grâce à nos rapports détaillés et transparents. quelle cohue !         Dans l’horreur des tourments leurs lamentables jours !       pour que tout le monde sorte.       Le faveur de carreaux descend
     Il fait gicler la boue
         sur les trottoirs cirés
         Comme la vie est lente
 Montent et descendent le long
 Le Paysan de Paris,  Louis Aragon, Gallimard, 1926. H. L. M. Cité
       par mes deux sacs.               La foule accrue
 Mêlant l'âpre ramure et les plus tôt venues,
       de la Goutte d'Or ou de Belleville
       Car mes griffes sont acérées.       Avec les villes de poussière
         Hurlent la peur dans le brouillard:
       Comme un arbre dans la ville
 Et performance chorégraphique de Christine Zwingmann-Cuénod.       Qui se tricote un allegro. Rue de l'Arbalète s'envole une alouette.       Disparaissaient.       Dans le regard d'un enfant.       Les gens se lèvent, ils sont brimés
         Jusques à son tumulte et jusques à sa bouë.       un oiseau
         
         Ces femmes, ces enfants, l’un sur l’autre entassés,
         Soleil d'hiver et de printemps,
       Prisonnier dans l’appartement.       du poids infini de la tristesse des choses, Maisons lépreuses
               De Dame Margot.         baraques
       La regarde de travers
         qui se tiennent assises, les mains sur les genoux,
       
 cage; la cage renversa le tapis; le tapis renversa la table; la table 
         Comme des oeufs monstrueux d'or,
 19 La receveuse de la poste
       juste un peu plus large,
         Elle était fonctionnaire
       
       Si près des autos qui fument
       Dans la grisaille de l'avant-nuit...
       Et la place Blanche a mauvais'mine
       
       Les places les squares
               Au plaisir fidèle,
       
       Et marchent les pieds au plafond
 Poésies de AO Barnabooth / Poésies diverses de Valery Larbaud, Poésie Gallimard, 1966.       C'était au temps où Bruxelles bruxellait. « Je suis un pâle enfant du vieux Paris... » de François Coppée in Intimités (1868). En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.       
 La pieuvre ardente et l'ossuaire
       Tout bas. Tableaux parisiens, (1861) « A une passante » de Charles Baudelaire in Les Fleurs du mal,
               Ronfle en fredonnant. Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles,
 sur ordinateur, mobile et tablette pour 1€ seulement, Transmettre à la rédaction des documents d'intérêts publics, L’objet : lecture par l’auteur des premiers poèmes du récit. On voit des passants
         l'heure du clocher dont les ressorts crient –
       Qui d'un Dieu libre et bon nécessitent le choix »?         on en cassera les carreaux
         Ce sont des toits et des pignons,
 La famille
       On les recouvre de grilles
 le gai, le muguet coquet !       La boue toujours jaillit
 17 L'élève de Napoléon
         Si précaire si hasardeux
       Qui n'aime que la soupe aux choux. Ô malheureux mortels !       La Tour Eiffel a froid aux pieds
 Et c'est alors comme un grand cri jeté
       A l'amour
       Dans le métro
       tout en grâce,
 L'ouvrier travaille,
     Encore un soir de gagné. Câest ce⦠Politique ©Droits réservés.         Pour partir seule à la mer. Il se baigne dans le ruisseau,
 French leaks regardé.         La la la la - La la la la
       Dans le métro
       A la nuit tombée
     Et de tabac gris.         Et vous lancez la mode
       
 Les gens naissaient
         Mal ou bien, tout s'y fait, vaste grand comme il est
       De courir dans ses tunnels. Un outilleur de chez Renault. Il chasse le long des rues
       Entre béton et bitume
       Au milieu des mystères
 Parfois loin du soleil recule et se retrousse
 Macron me fait penser à ma grand-mère catholique, Printemps de la Poésie envers et contre Covid, Confinement3: le casse-tête de Castex (2). La neige et la nuit
 Passage dangereux. Elle l'avait laissé faire
 C'est la ville tentaculaire,
       qui bat qui bat
               Que l'amour appelle,
         
       Qui ne mange que du fromage. Dans notre rue, il y a
         Par un million d'oiseaux.               Ressonne, et la bonne,
       La la - La la - La la - La la. … Il est noir, l'escalier,
               Allons nous coucher. Une aveugle s'appuie à la muraille
 - Ah les beaux jours de bonheur indicible
 Trouble et rouge, comme un haillon qui brûle,
         Dansaient les hommes les femmes en crinoline
               La nuit entière,
       signe à la lune. L'Orient-Le Jour, actualité liban - premier quotidien francophone au Liban : toute l'actualité de la politique, l'économie, la culture et la société au Liban, au Proche-Orient et dans le monde         Et nos amours
       Et s'en va vers le Havre
 C'était au temps où Bruxelles rêvait
         C'est un fleuve répond un enfant
 La Seine sans bruit
       Des rives incertaines,
 Un poème droit, définitif
       Le couvert se trouva mis.               Le fainéant baille,
 0 Tout est vide au rez-de-chaussée
       Invita le Rat des champs,
       Un grand magasin, une école,
         Sur des poteaux et des grands mâts,
 
 La Seine a de la chance
               Devant ma porte
               Crier : Carotte,
 Dommage! Le ciel peu à peu se venge
 Hélas ! Elles sont pleines de bruit
 20 La foule du vingtième étage
       Mais la Seine s'en balance
         Une guitare au loin s'accorde
       
 (Editions des Sables) Prix Renée-Vivien 2019.       est en confiture de mûres. N'en laisse que les arêtes. II s'en passe des choses dans 
 Comme un nocturne et colossal espoir;
 On ne s'ennuie pas à Paris :
 Direz-vous, en voyant cet amas de victimes :
 Qui a éteint le feu?       De grands magasins, tant et plus. Un jour on démolira
 Il pleure dans mon cœur
       Comme un arc-en-ciel,
           Les voilà partis. Heureux qui dans sa ville, hôte de sa maison,
               Prompte à disparaître,
       de ce qu'on ne connaît pas de l'autre,
 Mais ce qu'on ne voit jamais dans ma 
       Morne comme le vent
         taudis. Tantôt, tu quitterais Paris
       
 L’ouvrage est disponible en librairie en Suisse romande, en France, sur commande ou chez l’éditrice Huguette Junod ( ed.des.sables@bluewin.ch ). Et vend de la lumière, en des boîtes d'un sou;
       Dans notre H.L.M. On l'ouvre sur la campagne moderne,
 Et les plus fous, les plus ingambes
         A inviter les pyramides
 En effet, à lâautomne, ses feuilles prennent une jolie couleur ambrée pour finir vers une teinte tabac, mais elles ne tombent pas, elles restent accrochées jusquâà lâapparition des nouvelles . Une Balade en poésie à Blangy le Château 700 visiteurs au Festival du Solo TOUT SEUL DEVANT TOUT LE MONDE Les Castelblangeois à North Tawton pour le 40ème anniversaire du Comité de Jumelage.       ni serrure,
     Transmettre à la rédaction des documents d'intérêts publics Electrometropoligramme, collectif, Le Grand Incendie, 2005. Dans cette école, il y a
 Gentille, accorte
         Ni les amours reviennent
 Une grand-mère qui fait du tricot.       Par ici
       Qui garde un sapajou en cage.       
 Ses murs se dessinent pareils à une armée
       Au galop
       Et le citadin de dire:
       Sans abri, sans domicile
 Confinement3: faut-il parler gentiment au Covid-19 (1)?       Car ils me rendent éternelle.         C'était au temps du cinéma muet
 De la Villette
 La playlist du printemps pour célébrer les beaux jours qui arrivent Le printemps est arrivé !     Tombent sur Paris,
 Une petite fille dans les nuages.         vous dansez en marchant
 J'ai vu des continents
       un chevalier de l’espace
 Pas une ne bouge !         Où nous joignions nos bouches !         Et vous dansez sans le savoir
 Les parkings, c'est pour stationner,
               Grossit tout à coup :
 Je préfère mon village,
       confiture, confiture
 Dans mon quartier, il y a
 des grandes villes
       Sous le pont Mirabeau coule la Seine, La Seine a de la chance
 On piétine la boue
 Hep taxi
       
 Lieu : La ville ( Jean Marie Le Sidaner), éditions Encres vives, ?         En ce soir de septembre.       du blé du seigle de l’orge
 Un arbre, par-dessus le toit,
 De réverbère en réverbère se recule.       des gratte-ciel, plantés serrés
       déménage
       Ce n'est pas que je me pique
 Ce bel aujourd'hui de Jacques Lacarrière, Le grand livre du mois, 1989.         Et puis mon cœur, mon cœur qui bat
       A coup de tartes à la crème.         Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà,
 Sur le sein maternel écrasés et sanglants ?     On s'y fait insulter
       Et sur le boulevard Montparnasse
 Les mercredi pour s'amuser. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit
 A pas de géant
 Je me promène sur les toits
 Tranquilles spectateurs, intrépides esprits,
       Achevons tout notre rôt.               Bordeaux, Florence,
 Peut-être aussi penserais-tu
         des fois elle court elle va très vite
         et qui se sont mis une rose au cou. Prière de construire
         et toujours elle éclate de rire quand
 J'ai vu les Champs-Élysées
       A des reliefs d'Ortolans. Adieu donc; fi du plaisir
         contre son sommeil pour apercevoir
         Ou rien La vie Un linge écru
 Mais le ciel pour les laver
 Travailler la nuit. 2Par le bout du nez 3Le secret des cigales en live streaming 4Plaidoiries 5Toute l'histoire de la peinture en moins de deux heures 6Le Porteur d'Histoire 7Le muguet de Noël 8Et pendant ce temps, Simone veille !         Trop loin de son salut pour être au rang des saints,
         Il attendait la guerre
 Qu’il ne voit ni les lampes,
       Sam se sent tout petit
         filles des bas quartiers
 Sur un bâton entre deux chaises. Zone industrielle. Du plaisir d'or et de phosphore;
         Et sur l'impériale
 Jusqu'aux gares, dressant, telles des proues
         Bat les môles de pierre et les pontons de bois;
         Le croque comme une noix,
       Un bébé phoque blanc et noir.         Direz-vous: « C'est l’effet des éternelles lois
       Le large de l'océan noir.         maisons empestées
         Et on voudrait que j'aie le moral
       A volé la lune
         C'était au temps où Bruxelles bruxellait
       Dans le regard d'un enfant.               De ses rayons dore
       Comme un arbre dans la ville
               Du lit de son maître
       
         qui voudrait pouvoir lutter sans répit
       Les gens riaient
  Rue Brise-Miche mésange niche. Pour un cœur qui s'ennuie,
 6 Un peu plus bas un éléphant
 En allant au marché
       est en mûres,
 Sculptent le firmament, de leurs marteaux d'ébène,
       S'ouvrent enfin sur la nuit.         
 J'ai vu des châteaux
       Des agents, encor des agents. Les feux rouges pour traverser. J'entends Javotte,
 Du tarot à l'abeille, en passant par le muguet ou le chiffre huit, nombreuses sont les superstitions qui rythmaient le quotidien de Monsieur Christian Dior à lui avoir survécu. Mène-moi au terminus!       Le café est dans les tasses
         Et elle sort de sa source
       Les gens glissaient
 Fidèles et naïfs comme de beaux pigeons
 Qu'y a-t-il six étages plus haut ? C'est place de la Concorde à Paris
     partout il y a la vie. Poésie 1 Vagabondages, Dossier : La ville, la banlieue, Printemps   des Poètes 1997, n°9.         Tout comme les autres,
       d’une maisonnette
         Les jours s'en vont je demeure
         des arceaux de sa cage
       cover-girls
       Un palais en jaune pâli,4
         Et sans se faire de mousse,
 Elle reste seule
         Vers l'océan et les espaces.       Tombe ici
 Et performance chorégraphique de Christine Zwingmann-Cuénod.         Sous les lampions dansaient les omnibus
 Des quais sonnent aux entrechocs de leurs fourgons,
       Le bout du nez, Le palais royal est un beau quartier
               Ses fleurs sur le quai,
       allumées – éteintes font
         et le poids descend –
 cité, c'est un regard.       Quel est ce boucan?       c'est mon cœur mon cœur qui s'en va
       L'escalier qui monte au grenier,
         Les vélos pour se faufiler.         
       De fabuleux océans
       Au matin sans bruit
 Cameroun : vie et C'est un endroit que l'on aime beaucoup
       
 Cage
         Qui pénètre mon cœur ?         sur le velours potelé
         Il souffle et lui donne un rhume. Les mains folles, les pas fiévreux,
         
       Ont fondé une famille
         C'était au temps où Bruxelles rêvait
 22 Le vieil Auvergnat à moustaches
       Le car est en retard
       Qui contemplent un jeu d’échecs.         
 Les oiseaux envolés
         
       
 « Portrait d’une ville », de Carlos Drummond de Andrade, in La machine du monde, Paris,
         fraîche comme l'eau claire des fontaines
 Qu'y a-t-il a la fenêtre ouverte ?         comme des filles à fichus
 Son arrivée fait toujours du bien et il sait, comme personne, nous remonter le moral : c'est le soleil bien sûr ! contre son sommeil pour apercevoir
         
 Déjà l'épicière,
       Il est cinq heures, Paris se lève
 Les autres numéros seront mis à votre disposition au fur et à mesure.         tissent aux branches des noyers
       Et puis mon cœur, mon cœur qui bat
         des fois au printemps elle s'arrête et
       Dans la profondeur de miroir
       
 Et la banlieue le cueille,
       De Nancy
               Portant sa hotte,
 Le plus souvent, c'est ainsi que les choses se passent.     de Grenelle ou de Bagnolet. de l’odeur des forêts. On a peur; il fait noir; le plancher craque
       qui sait réparer les moteurs
 – Non. Trois huit.       pour voir un peu de bleu,
       Immobile et sévère
       Coincé entre deux maisons
 Choisissez votre formule d'abonnement pour accéder en illimité à tout Mediapart.     dans la ville de Foix.       Il y avait trois p'tits polichinelles
         au pays des forêts.       Je n'ai pas besoin d’argent
       sur la terre.       Mais que le soleil brille,
 Tortues jaunes, tortues beiges, tortues noires,
         partout où il y a des hommes,
       que je vends du foie,
 Lecture d’une ville, Jean-Max Tixier, Collection Sud, 1976. Les autos crachotent,
 Au croisement de la rue Youri Gagarine,
         
       A la page
         
 Psshhhiiii !       Sous les étoiles qu'on ne voit pas,
       Les boulangers font des bâtards
       La nuit s'y attarde; on y trouve de tout :
 L'arbre tout seul, à quoi sert-il ?         elle presse le pas quand tombe le soir
         mais les neuves sont fraîches et jolies
 Et puis on joue aux billes
       
     
 25 Ceux qui élèvent des lapins
 Le palmarès des Meilleurs livres de l'année est une récompense littéraire, attribuée chaque année au mois de décembre depuis 1975 par la rédaction du magazine français Lire, à des titres français ou étrangers de tous genres littéraires. Elle surgit: désir, splendeur, hantise;
 Philosophes trompés, qui criez : Tout est bien;
 Le piéton de Paris de Léon-Paul Fargue, Gallimard, L’imaginaire, 1997.         Du béton, des blocs, des quartiers,
 Le savez-vous ?               Ou les Pays-Bas.       
       Bercés par le chant de la pluie... Mais oui, je suis une girafe,
         
 Ils n'ont pas de respect
         Ce sont des ponts tressés en fer
       (Il a dû louer l’appartement). - Pourquoi voulez-vous qu'il m'en souvienne ?     Et plus seule qu’avant. Perdu au milieu de la ville
     Sur les vitres la buée
 « Valparaiso » de Jean-Paul de Dadelsen, in Jonas, suivi de Les Ponts de Budapest et autres poèmes, Poésie/Gallimard, 1962, 2005.